Le prochain N°1 de Stellantis

Panneau Stellantis

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Les ventes de voitures neuves ont fortement baissé en 2024. De nombreux constructeurs sont dans le rouge et les français sont en première ligne. La structures des deux groupes automobiles tricolores connaît de sérieux remous et est remise en question, comme chez Stellantis par exemple. Les explications de Xavier Ferrand.

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Jeux d'influence chez Stellantis
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En France l’année 2024 a été catastrophique en termes de ventes, mais les autres pays ne sont pas forcément épargnés, comme les Etas-Unis par exemple où les voitures se sont entassées sur les parkings des concessionnaires.
Résultat, Carlos Tavares n’est plus le N°1 du groupe Franco-Italo-Américain. En attendant qu’un remplaçant soit désigné, c’est le président exécutif du groupe, l’italien John Elkan, qui a pris les choses en main. Epaulé par deux Français, on note quand même que l’une de ses premières décisions est le plan "Italie". La promesse de ne pas fermer d’usine et d’augmenter le nombre de modèles fabriqués dans ce pays où des milliers de salariés avaient manifesté en octobre dernier.

La nomination du remplaçant de Carlos Tavares sera donc aussi analysée sous un angle politique en essayant de voir qui sont les gagnants et qui sont les perdants.