Carrosserie Rabatel : badigeonner sans badiner avec la nocuité générée
21 juin 2021
© Carrosserie Rabatel
À travers l'exemple de la carrosserie Rabatel située en Isère tout près de l'A49, vous allez entendre que l'on peut exercer un métier dit "polluant", mais mettre tous ses efforts au profit de l'environnement et de la santé de ses salariés. C'est Grégory CHAVE, le dirigeant de cette société, qu'Aude Pauly a interviewé.
Grégory CHAVE, qui dirige la carrosserie RABATEL située à Saint-Marcellin en Isère, tout près de l'A49, est un professionnel qui a à cœur de bien faire son travail. Mais il a aussi, ancré en lui, des préoccupations sociales et environnementales.
Justement, il n'hésite pas à agir dans ce sens.
Ses démarches sont donc nées d'une réelle volonté, ainsi que de l'opportunité de travailler avec des fournisseurs tout aussi concernés par la question de l'environnement et attachés à le préserver. Le chef d'entreprise, sensible aux bonnes causes, s'est intéressé en particulier à la qualité des peintures utilisées :
"Là où on a le plus d'incidence sur la trace carbone que l'on peut laisser au sein de l'entreprise, c'est la peinture qui était le pôle n°1. On est montés chez BASF-France qui ont lancé une toute nouvelle gamme de peintures qui s'appliquent plus qu'en une couche. On a validé le produit, et on l'a intégré au sein de l'atelier. Aujourd'hui on est site-pilote pour le groupe BASF R-M."
Et les progrès apportés à l'activité pour la santé de ses salariés mais aussi pour en réduire la portée sur la nature, ne font que commencer !
"On va faire le maximum pour que ça continue !"
