Dans les coulisses d'un district autoroutier

Pouvez-vous nous présenter votre district et votre nouvelle équipe ?

Il y a eu des phases de recrutement qui ont été faites pour embaucher des agents, des agents impairs qui sont venus apporter leur expérience. On a des agents qui sont venus de la concurrence également, et après des personnes de tout autre milieu. On a eu des chauffeurs poids-lourds, des paysagistes, etc.

Le site de Dompierre a donc été créé de A à Z. Comment a-t-il été conçu ?

Le 15 mars 2020, APRR a repris l'exploitation de ce tronçon de l’A 79. Nous avons intégré un site provisoire qui se situe au niveau du diffuseur de Dompierre nord. En août 2022, nous avons déménagé sur le site définitif. Il a été conçu avec toutes les bonnes pratiques réalisées dans les autres sites d'APRR. Ce site s'inscrit également dans les visions de l'entreprise. Les bâtiments administratifs et les hangars sont couverts de panneaux photovoltaïques. On a aussi de nombreuses plantations qui ont été réalisées pour rendre le site plus vert.

L'autoroute A 79 s'inscrit également dans cette logique environnementale, notamment avec les péages en flux libre, qui nous permettent d'intervenir au plus vite sur un événement. Nous n'avons plus à nous arrêter aux barrières de péage. Et on a une fierté : depuis la reprise d'exploitation, nous n'avons eu aucun accident mortel sur le tracé à déplorer. Alors qu'auparavant sur la RCEA, tristement surnommée “route de la mort”, c'était quelque chose de fréquent. C'est l'une des grandes réussite de ce projet.

A noter que les vingt agents du site de Dompierre-sur-Besbre veillent sur les 2/3 du tracé de l'A 79, soit environ soixante kilomètres d'autoroute.