En route avec Rouquine

Rouquine

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Nous prenons maintenant la route, le temps d'une chanson, avec le duo Rouquine. Avant de les retrouver en concert en Moselle ce samedi 10 décembre, Xavier Ferrand les a rencontrés au printemps de Bourges pour parler voyage. 

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En route avec Rouquine
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Rouquine, c’est qui et, musicalement, c’est quoi ?  

C'est un duo. Moi, je suis Nino, je suis le compositeur et pianiste du groupe et Sébastien est l'auteur. 

C’est du texte en français, chanté, donc on va appeler ça de la chanson mais on va trouver plein de choses. Finalement, ça se métisse avec de la pop, de l'électro même, tout un tas d'influences et même sur scène, ça va jusqu'au rock dans l'énergie. 

Quel est votre lieu préféré, celui qui vous fait du bien quand vous n’avez pas le moral ? 

Je dirais chez moi (rires), j'ai un grand jardin qui donne sur les vignes avec une super vue sur la vallée du Layon. J'aime beaucoup me mettre là. 

Quel est votre pays préféré ?  

Alors je ne sais pas si c'est notre pays préféré, mais on aimerait bien y retourner parce qu'on a un historique avec, c'est la Chine. Il se trouve qu'on a eu l'occasion d'aller deux fois en tournée en Chine avec notre projet précédent. On avait un autre groupe qui s'appelait Babel et pour des raisons qui sont encore aujourd'hui un peu floues, ce groupe, qui était un peu un groupe de rock français, a cartonné en Chine et on a fait deux tournées complètes. 

Ça se passe comme ici une tournée ou c'est plus encadré ?  

En fait ils n’ont pas la même culture que nous, nous avons des concerts de musiques actuelles. C'est quelque chose de relativement récent, à notre échelle, et donc l'organisation est un peu plus rock'n'roll, un peu plus freestyle. L'installation, ne serait-ce que technique, n'est pas du tout la même que chez nous. C'est là que l'on se rend compte qu'on est vraiment privilégié en France. Il faut s'adapter, voilà. Par contre le public a une telle fraicheur, un tel plaisir à découvrir, que c'est le feu, mais c'est incroyable, on avait vraiment l'impression d’être “The Weekend” sur scène quoi (rires) c'était fou.