Sur les autoroutes des Jeux Olympiques

A 43 _ Barrière de péage de Chignin direction Albertville _ © G.Milliat Autoroute INFO

A 43 _ Barrière de péage de Chignin direction Albertville _ © G.Milliat Autoroute INFO

Quel que soit le lieu, les travaux sont nombreux pour les sites hôtes des Jeux olympiques. Parmi les chantiers d'envergure, il y a les constructions d'infrastructures routières. Ce fut le cas en France pour les olympiades d'hiver en 1968 et 1992.

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Sur les autoroutes des Jeux Olympiques
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Désignée ville hôte fin janvier 1964 pour les Xe Jeux d'hiver, Grenoble lance une multitude d'aménagements du réseau routier du département de l'Isère pour absorber une forte circulation attendue pour ce rendez-vous sportif mondial. Ce sont d'ailleurs les prémices des autoroutes A48 et A41 pour accéder plus facilement à la capitale des Alpes. Cette ville, en plein essor, connait aussi pour l'occasion la construction d'autoroutes urbaines que sont, en partie à l'époque, les actuelles A480 et Rocade Sud.

Pour les Jeux d'Albertville en 1992, les travaux de construction d'autoroutes sont une fois encore conséquents. Trois ans seulement pour réaliser, entre autres, la soixantaine de kilomètres de l'autoroute A49, l'axe Grenoble-Valence, avec ses nombreux viaducs. Un laps de temps serré pour réaliser le percement du deuxième tube du tunnel de l'Epine dans le secteur d'Aiguebelette ainsi que la liaison Montmélian-Albertville (A43 et A430) et relier la cité olympique à Chambéry par l'autoroute.